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Competition in this pair is now closed, and the winning entry has been announced.
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There were 12 entries submitted in this pair during the submission phase.
Entries submitted in this pair were rated on a per-segment basis. Listed below are all submitted translations of each individual source text segment.
Submitted segment translations
Translations submitted for each source text segment are listed below. Segments have had surrounding punctuation stripped, and the resulting identical segments have been grouped together, so each listed translation should differ, but the difference may be subtle (eg. internal punctuation or diacritics).
Viewing segment # out of 10
Source text segment #8
- «El cúmulo de atorrantismo y de burdel, de uso y abuso de limpiabotas, de sensiblería engominada, de ojo en compota, de rebote y de tristeza sin razón —allí está la pampa... más allá del indio... la quena... el tamboril— que se espereza y canta en los acordes del tango que improvisa cualquier lunfardo».
Sobre "lunfardo" 2 de 4
...(c. 1880) pero para la época de este texto ya contaba con un segundo sentido: "lenguaje argot." Yo creo que Girondo juega con los dos sentidos, pero me parece mejor traducirlo como "slang" o similar.
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Sobre "lunfardo" 1 de 4
Es por lo menos muy debatible si Girondo emplea este término como sinónimo de "ladrón" o de "jerga." El texto se publica en 1924 (Membretes, Martín Fierro). Es cierto que el término "lunfardo" nace como sinónimo de "ladrón"
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Sobre "lunfardo" 3 de 4
Ver: "Investigacion de las hablas populares rioplatenses: el lunfardo" pag. 16 (http://eprints.ucm.es/9814/1/T31438.pdf)
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Sobre "lunfardo" 4 de 4
1913: "El Novísimo diccionario lunfardo," Crítica (UNIPE: http://unipe.edu.ar/wp-content/uploads/2013/08/Resumen-Conde.pdf)
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Yes, now is not downloading for me neither, but it's a great piece of work. Try this: "Investigación de las hablas populares rioplatenses: el lunfardo" Tesis Doctoral, Vanesa Guadalupe Iribarren www.ucm.es/lengespyteoliter/tesis-doctorales-recientes
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Proz.com seems to have made a mistake here… It's “retobe” (not “rebote”) here… I only now noticed it... http://books.google.co.th/books?id=iLpS_nXEl8EC&pg=PA64
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<i>Retobe - Rebote</i>, that's LUNFARDO! Like <i>al vesre</i> for <i>al revés</i>.
I think ProZ thought that would be too tough for us (poor translators) and corrected it.
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And that's why I believe that LUNFARDO may be translated as ARGOT, SLANG...
Translations of this segment (12 total; 12 unique)
Le cumul de la flemmardise et du bordel, du recours abusif au cireur de chaussures, de la sensiblerie gominée, des yeux au beurre noir, des chèques en blanc et de la tristesse infondée — voilà la pampa... derrière l'indien... la flûte de Pan... le tambourin — qui s'étire et se chante dans les accords du tango improvisé par n'importe quelle crapule
Le cumul de fainéantise et de bordel, de l'usage et de l'abus de coups de poing, de sentimentalité pompeuse, d'yeux en compote, de rebond et de tristesse sans fondement —voilà la pampa... au delà de l'indien... la flûte... le tambour— voilà ce qui s'exprime et se chante dans les accords du tango improvisé dans un argot quelconque
L'accumulation de clochardise et de bordel, de l’utilisation abusive de cirage de chaussures, de sentimentalité apprêtée, d’œil au beurre noir, de rebondissement et de tristesse sans raison −c'est là que se trouve la pampa... au-delà de l'indien... de la Quena... et du tambourin− qui s'étire et chante sous les accords du tango et les paroles d'un argot improvisé de l'Argentine
Quelle débauche de paresse et de maison close, d'usage abusif de cireur de chaussures, de sensiblerie gominée, d'œil au beurre noir, de coup de sang et d'accès de mélancolie inexpliqués -là-bas, il y a la pampa... au-delà de l'indien... de la flûte andine... du tambour- se traîne et s'exprime dans les accords du tango improvisé par le premier voyou venu
Le mélange de sans-gêne et de lupanar, d’us et d’abus de cireurs de bottes, de sensiblerie gominée, d’yeux en compote, de coups de sang et de tristesse sans raison –voilà la pampa… au-delà de l’indien… la flûte andine… le tambourin– qui s’étire et chante dans les accords du tango qu’improvise la première racaille venue
L’accumulation de vagabondage et de bordel, le recours et l’emploi abusif des cireurs, de la sensiblerie brillantinée, de l’œil en compote, du rebond et de la tristesse sans raison – là-bas se trouve la pampa…plus loin que l’Indien…la flûte indienne, le tambourin – furent chantés et étirés dans les accords de tango improvisé par quelconque lunfardo
Le cumul de crève-la-faim et de bordel, d'usage et même en excès de cireurs de chaussures, de sensiblerie tirée à quatre épingles, d’œil en compote et de tristesse immotivée — voilà la pampa... bien au-delà de l'indien... la flûte andine... le tambourin— qui s'éveille et chante les accords d'un tango improvisé par n'importe quel apache de Buenos Aires».
La somme de laisser-aller et de bordel, d’usage et d’abus de cirage de bottes, de sensiblerie gominée, d’œil en compote, d’emportement et de tristesse sans raison –la pampa est là… au-delà de l’indien… de la quena… du tambourin- qui s’étire et chante dans les accords du tango improvisé par n’importe quel lunfardo
Le cumul de fainéantise et de bordel, d’usage et abus de cireur, de sensiblerie gominée, d’œil en compote, de ricochet et de tristesse sans raison —voici la pampa... au-delà de l’indien… la quena… le tambourin— qui s’étire et qui chante dans les accords du tango qu’improvise n’importe quel lunfardo
Le cumul de fainéantise et de bordel, d’usage et d’abus de cireurs, de sentimentalisme maquillé, des yeux en beurre noir, de refus et de tristesse sans raison –c’est là où se trouve la pampa--- au-delà de la terre des indiens… de la flute … du tambourin – qui s’étire et chante en accord avec le tango qu’improvise n’importe quel argot
La quantité d’argot et de langage de bordel, dont les cireurs de chaussure usent et abusent, enveloppé dans une sensiblerie gominée, avec un œil au beurre noir et broyant du noir de surcroît –voilà la Pampa …bien au-delà de l’Indien… la quena … le tambourin – qui peine et qui chante sur les accords du tango, improvisé par un petit voleur quelconque.
Le comble de l´obstruction et du bordel, de l´usage et de l´abus des lèche-bottes, de la mièvrerie
...(c. 1880) pero para la época de este texto ya contaba con un segundo sentido: "lenguaje argot." Yo creo que Girondo juega con los dos sentidos, pero me parece mejor traducirlo como "slang" o similar.